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Les passagers aériens, sauf ceux provenant des États-Unis, devront être testés à leur arrivée

Tous les passagers aériens, sauf ceux provenant des États-Unis, devront être testés contre la COVID-19 à leur arrivée au Canada, qu’ils soient vaccinés ou pas, annonce Ottawa.

Ceux-ci devront par la suite s’isoler minimalement jusqu’au retour de leur résultat de dépistage. Pour les non-vaccinés, ils devront subir une quarantaine de 14 jours, peu importe le résultat du premier test subi à leur arrivée, a détaillé le ministre fédéral de la Santé, Jean-Yves Duclos, en présentant une série de mesures pour lutter contre la propagation du variant Omicron mardi après-midi.

M. Duclos n’a pas exclu la possibilité d’étendre cette nouvelle mesure à tous les voyageurs, incluant ceux provenant des États-Unis.

Par ailleurs, le ministre a confirmé l’ajout de l’Égypte, du Nigéria et du Malawi à la liste des pays africains visés par des restrictions frontalières. La liste comprenait déjà, depuis vendredi, l’Afrique du Sud, l’Eswatini, le Lesotho, le Botswana, le Zimbabwe, le Mozambique et la Namibie.

Les étrangers ayant transité dans un de ces dix pays dans les 14 jours précédents l’arrivée prévue au Canada se verront refuser l’entrée, a réitéré le ministre Duclos.

De la pression sur la troisième dose

Dans un autre ordre d’idée, le ministre a demandé au Comité consultatif national de l’immunisation (CCNI) de fournir au gouvernement fédéral des directives à jour sur l’utilité des doses de rappel.

Cette mesure a pour but de déterminer quelle serait la stratégie la plus efficace pour l’administration de cette troisième dose.

M. Duclos a rappelé que c’est aujourd’hui qu’est entrée en vigueur la politique obligeant la démonstration d’une preuve de vaccination pour tous les voyageurs à bord de trains et d’avions au Canada.

«C’est une excellente mesure qui arrive tout à fait à point», a-t-il déclaré.

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